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Cas avéré de maison hantée par un démon en Nouvelle-Angleterre

Hantise démoniaque

En septembre 2006, la famille Yaple emménage dans une maison vieille de plusieurs siècles. Cette bâtisse se situant à proximité du centre-ville d’Enfield (Connecticut) bénéficie du cadre bucolique pittoresque de la Nouvelle-Angleterre. Jay, le père de famille qui est retraité de l’armée occupe un emploi de superviseur au sein du service d’entretien dans les bureaux d’un immeuble d’affaires. Quant à son épouse qui se prénomme Elka, celle-ci exerce la profession d’assistante médicale.
Tous deux sont très enthousiastes à l’idée d’habiter dans un bon quartier et d’offrir à leur famille un tel cadre de vie. Ceci étant dit, Elka n’est pas sûre d’aimer la maison autant que son mari. En fait, sans trop savoir  pourquoi, Elka a l’intime conviction qu’il y a quelque chose qui cloche avec cette maison.

Epaulés par Mike qui n’est autre que le meilleur ami de Jay, les Yaple’s déballent les cartons et prennent peu à peu possession des lieux. Fiers d’avoir acquis une maison aussi vaste à un prix abordable, Jay et Elka savourent chaque instant passé en famille. Après quelques travaux de rénovations qui ne relèvent pas du luxe, les Yaple prennent tout doucement leurs marques. Une agréable routine finit même par s’installer dans leur foyer.

Depuis peu, les filles ont coutume de jouer dans leur chambre avec une amie imaginaire prénommée Casey. Leurs parents ne s’en inquiètent pas. Ils pensent qu’il est courant que des enfants se créent une amie imaginaire. La vie suit tranquillement son cours jusqu’en avril 2007, date à laquelle un évènement insolite se produit. Elka bouquine dans le salon lorsque son attention est attirée par des bruits étranges. Pensant que son mari est à l’origine des coups sourds qu’elle entend, celle-ci l’interpelle. Boum, boum, boum…
A sa grande surprise, le fracas continue malgré l’arrivée de son époux. Ce raffut semble provenir des murs qui les entourent. Peu après, les boums sont remplacés par des bruits laissant penser qu’un animal gratte les murs avec ses griffes. Se disant qu’il s’agit sans aucun doute d’une mauvaise farce, Jay se précipite à l’extérieur de la maison afin de surprendre le ou les mauvais plaisantins. Or il n’y a personne dehors. Les alentours sont d’un calme olympien et de toute évidence, personne n’aurait eu le temps de s’enfuir…

Les jours se succèdent sans qu’aucun incident notoire ne vienne perturber la petite famille. Du moins jusqu’à cette fameuse nuit durant laquelle le babyphone qui se situe dans la chambre des filles émet une série d’interférences. Réveillés en sursaut par ses bruits, les Yaple en concluent qu’il s’agit probablement de parasites. Cependant, au moment même ou Elka saisit le babyphone, une voix féminine profère des paroles menaçantes : « Vous allez tous mourir ! ». Fortement troublés, les époux se précipitent en direction de la chambre des enfants. S’attendant à trouver un intru, les Yaple sont surpris de constater qu’il n’y a personne et que leurs fillettes dorment paisiblement.

Le mauvais pressentiment éprouvé par Elka dès leur emménagement se transforme soudainement en une angoisse aussi omniprésente qu’oppressante. Désormais, la mère de famille sait en son for intérieur qu’il y a des esprits malfaisants dans leur demeure. Dans l’espoir de la tranquiliser, Jay lui suggère d’ignorer ces manifestations. D’après lui, le fait de ne plus leur accorder de crédit est le meilleur moyen de les faire cesser.

Ces derniers temps, Mike remarque qu’Elka est de plus en plus souvent malade et taciturne. Madame Yaple étant souffrante, son époux qui a obtenu un jour de congés s’occupe d’elle et de leurs enfants. C’est alors que des coups se mettent à retentir, ressemblant fort à deux bouts de bois qui s’entrechoquent. Une des petites filles prénommée Riley, ressent la présence de son amie imaginaire.

Riley : « Casey est ici ! »

Persuadé d’une intrusion, Jay s’empare de son arme et inspecte l’étage dans ses moindres recoins. Dans son for intérieur, l’ex soldat espère ne pas avoir à faire usage de son arme sous le toit familial. Vérifiant méthodiquement chaque pièce, il ne trouve aucun hôte indésirable. Cela étant, les coups qui d’ailleurs semblent provenir de l’étage du dessus s’accentuent et se font de plus en plus violents. Progressant à pas de loup, l’ancien militaire pénètre dans le grenier et les bruits inquiétants cessent aussitôt.

Jay ne peut se résoudre à admettre que sa maison est hanté, il s’obstine à rationaliser, et ce malgré succession de phénomènes qu’il n’est pas en mesure d’expliquer de façon cartésienne. Quant à Elka, celle-ci n’a plus aucun doute. Souvent en proie à la désagréable impression d’être épiée, elle devient de plus en plus anxieuse.

Elka Yaple étend son linge dans la buanderie situé au sous-sol lorsque du coin de l’œil elle distingue une vague forme sombre qui se dissimule furtivement derrière un drap étendu. Fébrile, la maman s’approche et retient son souffle au moment de tirer sur un pan du drap. Il n’y a personne !
Exactement au même moment la porte d’un placard se situant vers l’arrière claque très bruyamment. Il n’en faut pas davantage pour qu’Elka sursaute, hurle de terreur et déguerpisse sur le champ.

Qu’elle que soit la pièce dans laquelle elle se trouve, la jeune mère de famille se sent observée par une présence insidieuse. Ses sens sont constamment en alerte. Elle ressent au plus profond de son être que l’être invisible devient de plus en plus puissant. Les forces des ténèbres semblent gagner du terrain de jour en jour, cela ne fait plus aucun doute.

Tandis que la maman dévouée met de l’ordre dans la chambre des fillettes, la plupart des jouets s’animent simultanément. Horrifiée comme jamais auparavant, Elka pousse un hurlement déchirant. Son mari accourt aussitôt et reste pétrifié devant tous ces jouets en mouvements et le vacarme ambiant. Les pensées les plus folles se bousculent dans sa tête. Tout d’un coup, tous les jouets s’immobilisent avec une parfaite coordination. Un silence pesant s’installe, ponctué par les longs sanglots d’Elka. La scène que viennent de vivre les époux Yaple est digne d’un film d’horreur et ils en sont conscients. A la lumière des faits survenus ces temps derniers, Jay est amené à reconsidérer le fait que sa maison est possiblement hanté.

Combattif par nature et face à cette situation pour le moins critique, monsieur Yaple est fermement décidé à réagir. Pour ce faire, il effectue des recherches dans les archives de l’hôtel de ville d’Enfield. Jay essaie de découvrir si un décès s’est produit dans leur maison. Après un bon moment, ses efforts finissent par payer. Il apprend que sa demeure a fréquemment changé de propriétaire. En effet, certains anciens occupants ne sont restés que six mois tandis que d’autres ont quittés les lieux au bout d’un an à peine. Ne trouvant personne à qui en parler, Jay se confie à son ami de toujours. Après s’être renseigné à son tour, Mike l’informe que des dizaines de meurtres ont été commis à son domicile. Pléthore d’accidents mortels et autres tragédies viennent compléter ce tragique bilan. De plus, Jay découvre que des personnes sont décédées dans d’étranges circonstances.

La famille Yaple fait appel à Orlando Ferrante, fondateur de la « Paranormal Research Society ».

Orlando Ferrante : « Dès que je suis entré, je me suis senti oppressé au niveau de la poitrine. J’ai ressenti beaucoup d’énergie négative. En fait, je n’avais jamais été confronté à une telle noirceur. J’ai visité toute la maison équipé de détecteurs de champs électromagnétiques et d’enregistreurs audios. »

Un champ électromagnétique (CEM) est un appareil qui détecte les fluctuations électromagnétiques. Une théorie propre à l’univers des chercheurs dans le domaine du paranormal associe les augmentations du CEM à la présence d’une ou de plusieurs entités.

Malheureusement, les différents relevés effectués par Orlando Ferrante ce jour-là ne permettent pas de mettre en évidence la présence d’une entité. Cependant, ses impressions personnelles lui font soupçonner le contraire. Le médium qui fait équipe avec la Paranormal Research Society perçoit aussi une énergie très négative. Il se recroqueville et finit par se réfugier contre un mur dans les escaliers. Lui qui d’ordinaire est quelqu’un de de réservé devient arrogant sans raison. Monsieur Ferrante qui a déjà sa petite idée, le questionne dans le but de déterminer s’il fait l’objet d’une incorportation (1)

Le médium : « Vous allez tous mourir. Et vous irez en enfer. »

Orlando : « Pourquoi vous en prenez-vous à cette famille ? »

Faisant suite à cette question, Orlando et son caméraman sont fortement projetés en arrière. D’après l’expérience du fondateur de la Paranormal Research Society, seules les entités démoniaques sont capables de projeter violemment une personne. Toujours selon ses connaissances, le mal attire inexorablement le mal. Tous les faits tragiques qui se sont produits dans cette vaste bâtisse ont contribuer à alimenter une énergie négative.

Jay : « Depuis qu’Orlando nous a annoncé qu’il s’agit probablement d’un démon, nous redoutons le pire. »

La mission première du fondateur de Paranormal Research Society consiste à recueillir des élements afin de déterminer s’il s’agit ou pas d’un cas de hantise démoniaque. Etayer cette théorie à l’aide de preuves tangibles est indispensable pour solliciter un exorcisme des lieux auprès des autorités de l’église.

Sept jours passent sans incidents particuliers.

Une nuit le père de famille se réveille avec une curieuse impression, celle d’être épié. Il scrute la pièce et aperçoit une très jeune femme plantée devant son lit. Celle-ci est curieusement accoutrée. A bien y réfléchir, c’est un peu comme si elle se rendait à une soirée dansante dans l’ancien temps. Sans un mot, l’étrange demoiselle se précipite sur lui. Plaqué contre le matelas, Jay lutte de toutes ses forces. Sa vie est en danger et il ignore pendant combien de temps il pourra résister à cet assaut. Impossible de prévenir sa femme qui dort à ses côtés, car plus aucun son ne sort de sa bouche. A présent, l’entité est à califourchon sur sa poitrine, il peine à respirer, sa vision commence à se troubler. Survient alors une sorte de détonation et l’entité disparaît comme par enchantement.

A son réveil, Jay est persuadé qu’il s’agit tout simplement d’un cauchemar. Tout en se frottant machinalement les poignets, monsieur Yaple ressent de vives douleurs et c’est ainsi qu’il remarque diverses marques rouges au niveau de ses avant-bras. Désormais, ces traces ne laissent place à aucun doute, il a bel et bien été empoigné et rudoyé au cours de la nuit. Sa femme le questionne au sujet des ses bleus et Jay préfère éluder en prétextant qu’il n’a pas la moindre idée de ce qui a pu occasionner de telles rougeurs.

Quand Jay Yaple évoque avec Orlando l’attaque nocture, ce dernier pense aussitôt qu’il peut s’agir d’une forme de paralysie du sommeil(2). Mis au courant des évènements de la veille, monsieur Ferrante en conclue que l’entité a puisée l’énergie dont elle avait besoin pour se manifester en s’en prenant au père de famille. Tout indique que l’entité est encore plus puissante.

Une mauvaise nouvelle n’arrivant bien souvent jamais seule, quelques jours plus tard, Orlando Ferrante explique à Jay Yaple qu’il se trouve dans l’obligation de mettre un terme à l’enquête. Son principal argument est imparable, le démon s’en est directement pris à ses enfants et Orlando doit impérativement protéger sa famille. Pendant une bonne semaine, la progéniture d’Orlando a été la cible d’attaques à la faveur de la nuit. Etablissant un lien avec l’enquête en cours, Orlando préfère se retirer.

Dorénavant, Jay qui craint que l’entité s’en prenne à ses fillettes aimerait déménager. Mais l’acquisition de la maison a déjà engloutie la totalité de leur épargne. La famille ne sort plus beaucoup ces temps-ci, elle se replie sur elle-même en attendant des jours meilleurs. La seule chose qui empêche le couple Yaple de sombrer, c’est de constater que jusqu’à ce jour leurs fillettes ont toujours été épargnées par l’entité néfaste. Cela fait maintenant deux années qu’ils vivent à Enfield…

Elka est seule dans le grenier quand elle entend un bruit qu’elle ne parvient ni à situer ni à définir. Toujours aux aguets, son mari la rejoint et puis tend l’oreille une poignée de secondes.
Jay : « J’entends comme le bruit de deux sabots. Regarde leurs traces sur le sol ! »
Le père de famille pense avoir à affaire à satan en personne, il n’en croit pas ses yeux ! Terrifié au plus haut point, il est convaincu qu’ils vivent leurs derniers instants. Les coups de sabots qui martèlent le sol se mettent à redoubler. A l’occasion d’une brève accalmie, le couple saisit sa chance et quitte hâtivement le grenier.

En dernier recours, Jay sollicite Bob Baker, un spécialiste en phénomènes paranormaux. Intrigué par cette demande pressante, le fondateur de la « Paranormal Investigators » se rend rapidement au domicile des Yaple.
Bob Baker : « L’entité était au courant de mon arrivée, elle m’attendait pour ainsi dire sur le pas de la porte. »
Accompagné par son équipe et à l’instar des précédents enquêteurs, Bob effectue des relevés de CEM dans le but de détecter d’éventuelles anomalies ou du moins quelque chose de potentiellement « paranormal ». Subitement, monsieur Baker entend quelqu’un descendre lourdement du grenier. Les pas sont tellement pesants que l’enquêteur estime le poids de cette « créature » à environ 200 kg. La seconde suivante, Bob se penche vers l’avant tout en se plaignant du dos. Sitôt l’arrière de son polo soulevé, Jay et l’assistant remarquent que le dos de l’enquêteur est zébré. Son dos porte neuf traces de griffures. Ces observations laissent à penser qu’il peut s’agir de l’œuvre du démon Wendigo(3). Selon l’analyse de Bob, c’est plus ou moins comme s’il faisait parti des murs. D’après cet expert, un déménagement ne peut en aucun cas épargner le clan Yaple. Pour en prendre pleinement conscience, il est nécessaire de prendre en considération qu’ils cohabitent avec cette entité démoniaque depuis déjà deux ans. Un lien très fort s’est créé. S’il est vrai qu’il est possible d’échapper à un démon Wendigo, ce n’est bien souvent plus possible au-delà de six mois de « vie commune ».

S’enfuir n’est donc plus une option envisageable sous peine d’être tourmenté toute sa vie.
Mike : « Je voyais bien à quel point mon ami et sa famille étaient dépassés par tous ces évènements. »

Jay prie de plus en plus, espérant trouver une solution dans la foi. Bob tente de rassurer la famille en leur annonçant qu’il a pour projet de demander l’intervention d’un évèque Dominicain dont l’excellente réputation dépasse allègrement les frontières du pays. Hélas, cette évèque est indisponible actuellement, ce qui oblige la famille à patienter tout en suppliant le seigneur de faire en sorte que son envoyé intervienne dans les plus brefs délais, c’est-à-dire avant qu’il ne soit trop tard.

La famille sort de la voiture et Riley raconte à père que Casey est très fâchée.
Riley : « Papa ? Casey dit que tu dois demander à Jésus de ne pas approcher de la maison. »
Jay : « Pourquoi dis-tu ça ? »
Riley : « Casey ne t’aime pas ! »
Jay : « Ce n’est pas gentil de dire ça. Casey est méchante, ne l’écoute plus à l’avenir ! »

Quelques secondes s’écoulent, puis la voiture sans personne à son bord se met à rouler en marche arrière. Fonçant droit sur Elka, le véhicule prend peu à peu de la vitesse. Alertée par les cris de toute la famille, la maman parvient à sortir de sa trajectoire en se jetant sur le bas-côté. Plus de peur que de mal pour Elka, du moins pour cette fois-ci…

Jay réalise qu’il existe une intéraction entre Riley et son amie imaginaire. Cet énième évènement marquant le pousse à en conclure que Casey devient de plus en plus dangereuse. Autant dire que l’exorciste est très attendu chez les Yaple.

Le jour tant espéré arrive enfin. L’évêque Dominicain pénètre dans leur habitation et demeure silencieux quelques instants comme pour mieux s’imprégner de l’atmosphère ambiante. Le religieux insiste pour baptiser les filles malgré qu’elles aient déjà eu un baptême. Pour des raisons qui lui sont propres et pour mieux les préserver de l’emprise du mal, il tient à le faire par lui-même. Au moment de bénir Riley, l’évêque lui demande de ne plus jamais parler à Casey, ni même de l’évoquer avec qui que ce soit. L’évêque ne souhaite pas entrer dans les détails, mais il lui dit que son ami imaginaire est aussi néfaste que redoutable.

Riley : « Casey ne peut pas s’en prendre à moi. Elle ne peut même pas me toucher. »

Les rituels inhérents à l’exorcisme débutent. L’évêque Dominicain prie à haute voix et béni toutes les pièces tout en s’attardant dans le grenier qui comme chacun le sait est la tanière de cette indéfinissable « chose malfaisante ».

L’évêque : « Père tout puissant… Protège ce serviteur de l’ennemi. Gloria Patri… Protège ce serviteur de l’ennemi… »

A l’issu de l’exorcisme, la famille se sent à la fois apaisée et rassurée.

Jay : « Auparavant, l’atmosphère de la maison était très pesante. Depuis l’exorcisme, notre domicile est redevenu agréable et tranquille. »

Bob : « Le changement qui s’est opéré dans leur demeure est harmonieux. Désormais on se sent à l’aise. »

Depuis que l’évêque Dominicain à procédé à l’exorcisme de l’habitation, d’autres manifestations paranormales se sont produites. A ce jour, Jay estime que l’évêque a considérablement diminué l’influence et la puissance du démon. Mais, il ne l’a pas chassé pour autant, la bête n’est pas vaincue. Le Wendigo est suffisamment affaiblit pour permettre aux Yaple de mieux supporter cette cohabitation forcée.

Personne n’est en mesure de déterminer si l’entité démoniaque était déjà présente au moment de la construction de la maison ou si sa venue résulte des multiples crimes, accidents et  autres tragédies survenues entre ses murs.

(1)
La médiumnité par incorporation se caractérise par la prise de possession de tout ou partie du corps du médium. Ce dernier devient alors un canal de communication entre une entité et une personne appartenant au plan terrestre.

(2)
Paralysie du sommeil – point de vue du corps médical :
Plus communément appelée « parasomnie » dans le milieu médical, la paralysie du sommeil est un trouble lié au sommeil qui se traduit par le fait que le sujet est conscient pendant que son corps reste endormi. Eveillé tout en étant paralysé, le sujet est incapable de se mouvoir et de communiquer. Faisant suite à cet état, le sujet est en proie à des hallucinations auditives et visuelles.

Paralysie du sommeil – point de vue des enquêteurs du paranormal et des démonologues :
La paralysie du sommeil existe depuis la nuit des temps. La thèse des démonologues et de certains enquêteurs en phénomènes paranormaux est essentiellement fondée sur une attaque nocturne durant laquelle un incube, un succube ou tout autre démon agresse une victime durant son sommeil. Celle-ci est pleinement consciente, mais elle ne peut ni crier ni se débattre tandis qu’une forme sombre et sans visage oppresse sa poitrine.

(3)
Le Wendigo n’est pas un démon lambda, il se singuralise par son extrême cruauté et par le fait qu’il a en horreur l’espèce humaine. Ce démon donne l’impression d’être dans la maison avant même qu’elle n’ait été habitée.

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